En approche

Publié le par Michka

Cet article est programmé...tout comme mes vacances!!!! j'aurai peut être l'occasion de me connecter.......je vous dis à bientôt...

Publié dans Insectes et papillons

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C
bonsoir repose toi Pirate jolie photo a bientôtbises chris
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S
Un joli jeté ouvert pour un insecte amoureux de son coeur... au nectar généreux.Le soleil fait éclater les deux...Merci pour ce détour vacances. Programmer ou pas tu nous offres toujours de belles compositionsBonnes vacancesBisesSonia
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M
Bonnes Vacances tit veinard hihi ! Bises
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L
reviens nous vite avec encore + de photos sublimes! Bonsoir  sorry de passer que maintenant mais fatiguée et la semaine qui arrive est chargée entre les visites d'appart , le boulot le rangement et me vieillir d'un an j'aurais peu de temps mais je pense a toi  alors je triche un peu avec ce poéme .... pas de moi La Bonne Soirée <br /> <br /> <br /> <br /> Quel temps de chien! - il pleut, il neige; Les cochers, transis sur leur siège, Ont le nez bleu. Par ce vilain soir de décembre, Qu'il ferait bon garder la chambre, Devant son feu ! A l'angle de la cheminée La chauffeuse capitonnée Vous tend les bras Et semble avec une caresse Vous dire comme une maîtresse, « Tu resteras ! » Un papier rose à découpures, Comme un sein blanc sous des guipures Voile à demi Le globe laiteux de la lampe Dont le reflet au plafond rampe, Tout endormi. On n'entend rien dans le silence Que le pendule qui balance Son disque d'or, Et que le vent qui pleure et rôde, Parcourant, pour entrer en fraude, Le corridor. C'est bal à l'ambassade anglaise; Mon habit noir est sur la chaise, Les bras ballants; Mon gilet baille et ma chemise Semble dresser, pour être mise, Ses poignets blancs. Les brodequins à pointe étroite Montrent leur vernis qui miroite, Au feu placés; A côté des minces cravates S'allongent comme des mains plates Les gants glacés. Il faut sortir ! - quelle corvée ! Prendre la file à l'arrivée Et suivre au pas Les coupés des beautés altières Portant blasons sur leurs portières Et leurs appas. Rester debout contre une porte A voir se ruer la cohorte Des invités; Les vieux museaux, les frais visages, Les fracs en coeur et les corsages Décolletés; Les dos où fleurit la pustule, Couvrant leur peau rouge d'un tulle Aérien; Les dandys et les diplomates, Sur leurs faces à teintes mates, Ne montrant rien. Et ne pouvoir franchir la haie Des douairières aux yeux d'orfraie Ou de vautour, Pour aller dire à son oreille Petite, nacrée et vermeille, Un mot d'amour ! Je n'irai pas ! - et ferai mettre Dans son bouquet un bout de lettre, A l'Opéra. Par les violettes de Parme, La mauvaise humeur se désarme, Elle viendra ! J'ai là l'Intermezzo de Heine, Le Thomas Grain-d'Orge de Taine, Les deux Goncourt, Le temps, jusqu'à l'heure où s'achève Sur l'oreiller l'idée en rêve, Me sera court. <br />  <br /> <br /> <br />   Théophile Gautier (1811-1872) <br /> <br /> <br />
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V
c'est beau comme tout, le vol de l'insecte mais aussi la fleur, son but ...
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